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23 août 2023 3 23 /08 /août /2023 13:49
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22 avril 2020 3 22 /04 /avril /2020 16:59

« Ah ! Qu’ils sont beaux sur la montagne, les pas de ceux qui portent la Bonne Nouvelle »

Cette phrase de grande portée symbolique est pour moi la plus belle métaphore de la pauvreté et de l’opiniâtreté apostolique de ceux qui ont pris pour vocation dans la vie, de proclamer le Christ à travers les reliefs et les espaces du monde. Courage, Intrépidité, opiniâtreté, sont les vertus cardinales pour gravir une montagne. Lorsque vous y adjoignez la pauvreté de l’«athlète» du Christ, alors, alors seulement se révèle la BEAUTE des pas de ceux qui portent la Bonne Nouvelle. Et voilà justement ce qui attire à la foi en Jésus Christ, la multitude des âmes en attente du salut : courage, intrépidité, opiniâtreté, PAUVRETE. Elles sont les fondements angulaires par lesquels les porteurs de la Bonne Nouvelle peuvent faire preuve de sainteté, de chasteté et d’obéissance. Tout le reste est vain et alourdit la Croix de notre Seigneur Jésus Christ car la richesse est un fléau dont il souffre tout le temps. « Il est plus facile à un chameau de passer par le trou d’une aiguille, qu’à un riche d’entrer au paradis ». Sic !

La richesse de nos cathédrales et basiliques, tous ces objets en or, argents et/ou bronze, sont autant de fouets sur le corps déjà meurtri de notre Seigneur Jésus-Christ. « Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu » est une autre façon de proclamer « Rendez au monde ce qui est au monde et à Dieu ce qui est à Dieu ».  Lorsque le Démon épuisé de persécuter en vain Saint Martin de Gaule, alors il se déguisa en Jésus-Christ couronné d’or et vêtu d’argent, et, posté derrière le Saint en prière, il lui dit avec fougue qu’il était Jésus qu’il priait. Saint Martin lui dit sans ambages, mon Jésus n’aurait jamais eu besoin de se couronner d’or et d’argent pour être ici. Et sur cette réponse, le démon explosa et disparut à jamais de devant le Saint.

Le Christ n’a pas besoin des choses par lesquelles les fils des hommes du monde se distinguent comme riches ou pauvres. Sa courte existence n’a été qu’un témoignage qu’il était Dieu et que sa richesse se trouve dans le cœur des hommes et ne s’apprécie pas en valeur de choses matérielles. « Le Fils de l’Homme n’a même pas où reposer la tête ». Il disait encore à la samaritaine que bientôt ce ne sera plus à Jérusalem ou sur cette montagne que l’on adorera Dieu, mais partout en esprit en vérité. Quand je regarde notre Eglise aujourd’hui, je m’effraie quelque peu.

Il faut fondre tout cet or et liquider toutes ces richesses et les pourvoir pour la vie des nécessiteux et Dieu sait qu’il y en a. Non ! Ne divergeait pas vers ce que je n’ai pas pensé : la Russie a fait son histoire. Aujourd’hui, Dieu nous parle par les signes et nous refusons souvent de les comprendre pour ne pas nous incommoder. Dans ce 21ème siècle, Dieu nous parle encore et le monde doit choisir entre sauvegarder l’économie et sauvegarder la vie car on ne peut servir deux maîtres à la fois. Cette pandémie est l’occasion pour l’humanité et pour l’Eglise de faire le grand bon de la vie en se servant du monde et non rester dans cette impasse de l’économie en se servant de la vie. Nous sauverons la vie sur cette planète et permettrons à tous les êtres de profiter efficacement de toutes les ressources dont elle dispose malgré leur rareté. L’Economie est un scandale mondial où tous les conflits ainsi que les destructions écologiques puisent leur justification. La monnaie est le plus gros moyen de domination que l’homme ait créé. Ainsi ceux qui en sont dépourvus restent à jamais pauvres et ceux qui en sont pourvus restent à jamais les maîtres des ressources de la planète avec le pouvoir de détruire tout ce qui existe. Vous comprenez qu’ainsi le monde ne peut qu’aller vers une impasse qui mettra fin à la possibilité de vivre sur cette terre où Dieu s’est fait l’un de nous. Si l’intelligence de l’homme ne lui permet pas de voir cette réalité, c’est qu’elle est aveuglée par une mauvaise utilisation de la liberté qui encense l’égoïsme et l’égocentrisme des nations. Il n’est pas possible que l’homme ne soit pas plus grand que ce qu’il propose comme système de vie et de relation entre les êtres et les nations.

Alors revenons aux enseignements du Christ qui d’ailleurs disait déjà que le monde passera mais ses paroles ne passeront pas. La véritable monnaie vers laquelle notre Eglise doit prêcher et en faire montre à tous les égards s’appelle la CHARITÉ. C’est cette monnaie qui doit être la monnaie des nations et des êtres et Dieu saura rétablir les équilibres d’un monde qu’il a créé pour l’homme et non l’homme pour le monde. Mais comment exercer la charité si on n’a pas de ressources ? Justement c’est là le hic. Ce que l’Eglise doit produire, ce n’est pas de la richesse, mais les choses essentielles à la vie du pauvre : la nourriture, l’eau, et les médicaments. N’oublions pas que celui qui a découvert les lois de l’hérédité est un moine du nom de MENDEL. C’est pourquoi comme le recommande la règle de Saint Benoît, il faut manger ce qu’on produit. Tous les membres de l’Eglise sont des intellectuels de haut niveau qui ne travaillent que dans le quotidien des activités de l’Eglise et ne contribuent à aucune production pouvant aider les pauvres. En fait tout leur est donné. Ce qui n’est pas une mauvaise chose. Cependant si tout cet aréopage de hauts cadres étaient organisés pour produire, faciliter, encadrer la production de nourriture, l’accès à l’eau potable et aux médicaments, le message du Christ serait encore plus audible pour les pauvres. L’Eglise devrait continuer le rêve du Christ de nourrir 5000 personnes avec 5 pains et 2 poissons. Elle doit arriver à aider tous les pauvres qui s’approchent pour écouter le Christ et tous ceux qui sont en attente de l’entendre. C’est cette organisation indispensable qui est le gage de la charité par l’Eglise.

L’Eglise est le seul messager du nouveau monde que Dieu nous propose depuis plus de 2000 ans.

« Ah ! qu’ils sont beaux sur la montagne les pas de ceux qui portent la BONNE NOUVELLE »

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25 juin 2018 1 25 /06 /juin /2018 14:22

En 1789, il fallait faire du neuf :

Ce sont elles qui chauffaient la révolution des droits

Dans le chaudron de leurs demeures et de leurs toits.

Ah ! Ces grandes dames de l’Histoire qui font l’Histoire en silence !

 

En 1929, quand tout était tout neuf

Elles ont vécu la crise pour vaincre son emprise

Et protéger la vie des ménages éprouvés.

Ah ! Ces grandes muettes de l’histoire, qui font l’Histoire en silence !

 

En 1939, quand tout était trop neuf

Elles ont vécu la guerre à travers toute la terre

En ceignant leurs hommes du grand secret du courage.

Ah ! Ces grandes muettes de l’Histoire, qui font l’Histoire en silence !

 

Quand une équipe célèbre une victoire dans la gloire

C’est que derrière chaque acteur il y avait un facteur

Que seule sait donner la femme pour faire son bonheur :

C’est le secret du silence, le silence novatoire

 

Quand une équipe sombre dans une sombre défaite

Et que chaque acteur, plus tard, souhaite victoire dans sa tête

Ce sont elles qui distillent le lait de la force

Qui répare les méandres et les désamorce

 

Ah ! Ces belles muettes de la vie, qui font la vie en silence !

Si le monde pouvait entendre ce tintamarre

Qui bruit de leur silence sans cesse et sans transe !

Ah si le monde pouvait entendre ces regards !

 

Il verrait cette soif d’attachement et de paix

Dans les corsages où se bercent la vie au complet.

Oui ! Il entendrait les sobres tambours de l’amour

Leur mélopée sacrée par les vents carrefours.

 

Alors il pourrait parler son langage sans ambages

Et construire un monde meilleur pour tous les usages.

La paix n’est pas dans la force ni dans l’impétueux

Elle n’est pas dans la fougue ni dans le roc teigneux.

 

Elle est dans la grâce ; elle est tapie dans la femme

Ce roseau de tendresse et de souplesse ferme

Molécule inouïe de laquelle tout se construit

Eve de la vie, nouvelle Eve par Marie

 

Ah ! Si le monde pouvait entendre le silence des femmes 

Et écouter le bruit de ses discrets effluves !

Il comprendrait que la perpétuité de la paix et du bonheur

Est dans la fovéa du silence de nos sœurs.

            Ah si le monde pouvait entendre le silence des femmes !!

Ce 8 mars 2017

Mathias FAYE

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20 mars 2017 1 20 /03 /mars /2017 18:28

Dans la vie que nous menons sur terre, nous pensons et faisons tout en fonction de nos moyens, de nos capacités et de notre intelligence. C'est très bien. Quand on n'a pas Dieu on a besoin de ces artefacts. Mais en vérité, on a Dieu. Inutile de faire semblant de ne pas croire en Lui. Tous ceux qui affirment qu'ils ne croient pas en Dieu, veulent s'imposer cet état d'esprit pour se donner toute la plénitude de la liberté que peut offrir la vie matérielle sur terre. C'est tout. On a toujours des raisons de ne pas se mettre du côté de ceux qui croient. Mais je vous avoue que cette position ne fait que conforter la vérité de l'existence de Dieu, car on ne peut concevoir une nature et un cosmos aussi bien réglés qu'une horloge, lorsqu'il n'y a pas d'horloger. L'existence de Dieu est une question de bon sens, même s'il apparaît plus commode de ne pas se charger du fardeau de la Foi.

Alors maintenant que Dieu existe, et qu'il est de notre côté, quel risque court-on à s'abandonner à Lui.

Dans la nature, Dieu a mis tout ce qu'il faut pour la préserver, la protéger et la guérir. La nature s'équilibre par elle-même. Ce n'est pas dans l'homme qu'il faut aller chercher ce charisme. De ce côté l'homme est simplement stérile et Dieu fait bien les choses. Car l'homme est le plus grand prédateur de la nature, l'animal le plus destructeur des équilibres dans lesquels pourtant il devrait puiser son accomplissement. C"est parce que l'homme ne s'abandonne qu'à lui-même et qu'il veut ressembler à Dieu que la nature est aujourd'hui en train de se dégénérer et de mourir. Et de ce côté, il ne ressemblera jamais à Dieu, car Lui, Il est infiniment bon : il ne tue jamais, et Il donne la vie éternelle. Tandis que l'homme, lui, il tue et ne donne qu'une vie procréée limitée à moins de 100 ans tout au plus.

 S'abandonner à Dieu, c'est obéir pleinement aux lois que Dieu a établies pour notre bonheur; s'abandonner à Dieu c'est reconnaître la plénitude de sa puissance; s'abandonner à Dieu c'est avouer une confiance absolue à Lui; c'est faire preuve de foi; finalement, s'abandonner à Dieu, c'est aimer totalement et sans réserve, Dieu. Dans cet état, l'homme se trouve être la créature la plus aimée et la plus protégée de Dieu. Celui pour qui tout a été fait, uniquement pour son accomplissement et son bonheur. Celui par qui la nature puiserait toute sa puissance de régénération, de conservation et de perpétuité; celui par qui tous les équilibres fondamentaux de la nature seraient préservés et compris en toute simplicité : les fruits resteraient être une nourriture naturelle et gratuite et les feuilles un remède.

S'abandonner à Dieu c'est aussi aimer son prochain, c'est oeuvrer à son bonheur et à sa paix. Car aucune émulation n'a plus de raison d'être, aucun orgueil, aucune jalousie.

S'abandonner à Dieu est la plus belle économie du monde. Tous les équilibres resteraient respectés car tout ce qui sort de quelque part rentrerait quelque part, il n'y aurait plus de riches et des pauvres. Il n'y aurait que l'amour et la paix. S'abandonner à Dieu est le seul apprentissage du Paradis que Dieu attend de nous. C'est la porte du bonheur éternel. Mais cela demande une dose particulière de courage exceptionnel qui s'appelle LA FOI.

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15 décembre 2016 4 15 /12 /décembre /2016 12:11

Mes amis, cessons de culpabiliser Dieu de tout le mal qui se passe parmi les hommes, autour des hommes et dans l'environnement des hommes (matériel, social et spirituel).

Que vous croyiez en Dieu ou pas, tout être vivant a le sens de ce qui lui convient. Lorsque l'intelligence fait défaut, l'instinct fait le reste. La vie est un univers où l'on s'accomplit selon ses propres moyens. Et dans le tréfonds de ce processus d'existence, la conscience et la raison nous équilibrent et nous maintiennent dans la direction qui doit nous mener vers cet accomplissement. Mais quel accomplissement ?

Là est la question ! Si vous voulez le bien, c'est à dire vivre dans l'obéissance de ce qui permettra votre accomplissement dans la sécurité totale de votre environnement matériel, social et spirituel, vous obéiriez à cette conscience qui va vous pousser à la bonne réussite.  Cependant si vous décidez de vous accomplir dans une indépendance totale par rapport aux critères de qualité de votre environnement matériel, social et spirituel, vous êtes victime d'une conquête psychologique néfaste à la bonne réussite. C'est l'oeuf du mal ! Et c'est là que le mal commence, se nourrit, se développe et impose ses sentiers pervers.

Dans toute chose, il existe des lois naturelles. Il est libre à l'homme d'y obéir ou pas. Ces lois naturelles organisent, règlent, et perpétuent l'existence des choses et des hommes. Obéir à ces lois, les comprendre pour les renforcer davantage est le rôle de la science et de la raison. "L'observateur écoute la Nature, l'expérimentateur l'interroge et la force à se dévoiler". (Cuvier) Aucune créature n'est supérieure à ces lois. Y obéir est le seul gage du bien. Ne pas y obéir est le seul gage du mal.

Alors dites-moi, où est-ce que Dieu, cette Puissance qui est à l'origine de toutes ces lois, est-il responsable du mal ? Les lois sont une force dans laquelle on est conçue et sauvegardé. Ces lois sont le BIEN. Ne pas y obéir, est un choix de l'homme qui exerce sa liberté selon la conquête psychologique d'un état de conscience qui le pousse à être plus royaliste que le roi. C'est cette vérité qui est la racine du mal, et si vous voulez aussi du péché (pour ceux qui croient en cette Puissance par laquelle toutes ces lois ont été conçues). "Et Dieu vit que cela était BON". En étant hors-la-loi, on se range du côté où les lois dérangent et on saute dans cette liberté qui ne peut nous mener qu'à l'échec de notre accomplissement. Comme ce voyageur d'avion, qui sauterait en plein ciel pour avoir plus de liberté. C'est à cela que ressemblent les homosexuels ! C'est à cela que ressemblent les mariages gays et lesbiens ! C'est à cela que ressemblent les riches (on y reviendra) ! C'est à cela que ressemblent les fous ! C'est à cela que ressemblent les INVENTEURS des clones ! C'est à cela que ressemblent les thuriféraires  de la gestation pour autrui ! C'est à cela que ressemble les défenseurs de l'interruption volontaire de grossesse ! etc;

Alors chers amis ne soyons pas fous et soyons du côté des lois qui nous ont conçus et qui protègent notre accomplissement dans la longévité de notre espèce. Car si tout va mal, vous ne pouvez pas aller bien.

LE MAL EST UN CHOIX DE L'HOMME ET NON UNE ADMINISTRATION DE DIEU. Qui habet ores audendi audiat.

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14 décembre 2016 3 14 /12 /décembre /2016 09:54

1. Ayons le sens des grands ensembles et formons un seul territoire.

La Gambie, cette région fluviale à l'intérieur du Sénégal, dont le fleuve à donné son nom à ce pays de 50 km de large, ne peut laisser indifférent un pays qui le contient et dont la population est composée à 99% de sénégalais (je ne dis pas 100% pour considérer les réfugiés libériens et autres groupes sociaux qui ont trouvé refuge dans cette enclave territoriale pour trouver cette paix qui irradie, sans conteste, du Sénégal).

Soyons simplement humains et africains et essayez de convaincre le monde que les peuples gambiens et sénégalais sont différents ! Vous verrez que, comme le Fouta a une population propre, comme le Sine a une population propre, comme le Niani a une population propre, comme le Baol, la Casamance, etc. ont une population propre, ainsi aussi la Gambie a une population propre. Mais nous sommes tous, les habitants d'un même territoire que la colonisation a bien voulu appelé SENEGAL ici et GAMBIE là-bas. Là-bas, ils faisaient leurs transactions en anglais, parce qu'il y avait des anglais qui avaient un comptoir à Bathurse. Ici les populations faisaient leurs transactions en Français, car les français avaient des comptoirs à Saint Louis et au Cap Vert. A mon avis cette différence historique née de l'étranger ne doit pas être l'argument suffisant pour diviser un peuple qui parle la même langue traditionnelle. Nous sommes tous gambiens, nous sommes tous sénégalais.

Je vous en prie, POLITICIENS DE TOUT BORD, puisque cela ne peut passer que par vous, soyez, comme toujours, les grands héros des bonds démocratiques et sociaux, et créons une nouvelle entité territoriale que nous pourrions appeler par un nom qui traduit l'activité principale de ses populations : pourquoi pas le CAHARIZ avec comme capitales KAOLACK et BANJUL (pays de la Cacahuète et du Riz), ou alors, la SENEGAMBIE, pour rester dans le tempo de l'histoire.

Vous savez que quand la Gambie tousse, le Sénégal éternue, car ils forment un même corps. Voyez en 1981, quand un certain Kukoye Samba Sagna voulait renverser le président Daouda Kaïraba Diawara. La Gambie avait gémi ces jours-là, mais le Sénégal était venu et l'avait redressée avec le sang de ces hommes. Pourquoi ?  Parce que ce sont des sénégalais qu'il fallait protéger de l'anarchie imposée par un seul homme.

Ha! comme il est bon et doux d'être ensemble!

2. Sauvegardons la paix et la foi.

Aujourd'hui, alors que la population a fait son choix de la façon "la plus démocratique" selon les termes mêmes du candidat sortant du dernier scrutin, l'ex Président Yaya Jammeh, veut remettre du sable dans la sauce, sans un regard vers ce peuple gambien pétrie de patience et assoiffée de démocratie. Quelle indécence!  Pourtant le profil psychologique du mandingue n'est pas celui-là. Encore moins, celui du Diola. Yaya devrait être un homme calme, avec un sens élevé de la chose publique, affable et simple. C'est cela le profil du mandingue et du Diola. Comment peut-il privilégier son ego devant l'intérêt supérieur de la société qui l'a  porté et nourri. Dans ces populations du Sud, quand on est initié, on perd le sens de son ego au profit de celui de sa société.  Pensez-vous que la paix qui couvre le Sénégal comme un firmament d'azur vient d'ailleurs ? Il vient de la nature des profils psychologiques de ces populations animées par une foi en Dieu extraordinaire. Les populations gambiennes sont une population de paix et de teranga, comme le sont les populations sénégalaises.

Alors ne laissons pas un seul homme déranger tout cela, tout cet acquis.

3. Ayons le courage de la solution définitive.

Quelle est la différence entre un sénégalais-gambien et un gambien-sénégalais ? Aucune!! Nous sommes tous gambiens et sénégalais. La solution c'est de nous mettre ensemble une bonne fois pour toute et de trouver un nom à notre vieille patrie. Nous n'exagérons rien, c'est cela la vraie solution. Le modus operandi est simple : Adama Barro et Macky Sall peuvent le trouver et cela commence par un pont sur le fleuve Gambie. Ne nous pressons pas. Nous devons laisser un bel héritage à nos enfants et petits enfants.

VIVE LE CAHARIZ, VIVE LA SENEGAMBIE (au choix) !!!!

Ha! comme il est bon et doux d'être ensemble!

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29 juillet 2016 5 29 /07 /juillet /2016 11:43
Celui qui AIME est né de Dieu et connaît Dieu.

Voici pour vous ce qu'écrit Saint JEAN au sujet de l’Amour.

Jn 4, 7-16

Bien-aimés, aimons-nous les uns les autres, puisque l’amour vient de Dieu. Celui qui aime est né de Dieu et connaît Dieu.
Celui qui n’aime pas n’a pas connu Dieu, car Dieu est amour.
Voici comment l’amour de Dieu s’est manifesté parmi nous : Dieu a envoyé son Fils unique dans le monde pour que nous vivions par lui.
Voici en quoi consiste l’amour : ce n’est pas nous qui avons aimé Dieu, mais c’est lui qui nous a aimés, et il a envoyé son Fils en sacrifice de pardon pour nos péchés.
Bien-aimés, puisque Dieu nous a tellement aimés, nous devons, nous aussi, nous aimer les uns les autres.
Dieu, personne ne l’a jamais vu. Mais si nous nous aimons les uns les autres, Dieu demeure en nous, et, en nous, son amour atteint la perfection.
Voici comment nous reconnaissons que nous demeurons en lui et lui en nous : il nous a donné part à son Esprit.
Quant à nous, nous avons vu et nous attestons que le Père a envoyé son Fils comme Sauveur du monde.
Celui qui proclame que Jésus est le Fils de Dieu, Dieu demeure en lui, et lui en Dieu.
Et nous, nous avons reconnu l’amour que Dieu a pour nous, et nous y avons cru. Dieu est amour : qui demeure dans l’amour demeure en Dieu, et Dieu demeure en lui.

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21 juillet 2016 4 21 /07 /juillet /2016 10:39

Le compagnonnage de Dieu avec l'homme a commencé depuis Adam. Dieu n'a cessé de parler à l'homme, mais celui-ci a choisi de rester, à quelques exceptions près, dans la voie du Mal. Il a même fallu qu'il y eut un déluge pour expurger toute cette satanéité qui pourrissait le cœur des hommes."Ainsi le Seigneur effaça tous les êtres de la surface du sol, hommes, bestiaux, petites bêtes et même les oiseaux du ciel. Ils furent effacés, il ne resta que Noé et ceux qui étaient avec lui dans l'arche. La crue des eaux dura 150 jours." (Gn. 7, 7-24). Noé avait trois fils, Sem, Cham et Japhet. Koush, fils de Cham, engendra Nemrod, qui fut un grand guerrier devant le Seigneur. "Il avait pour capitales, Babel, Erek et Akkad, toutes villes du pays de Shinéar" Gn. 10. 10. C'est lui qui bâtit la ville de Ninive, dans laquelle interviendra plus tard le prophète Jonas.Abraham est de la descendance de Sem par son petit petit fils Tera qui a engendré Abram, Nahor et Harân.

La suite on la connaît. Dieu appelle Abram qu'il appellera désormais, Abraham, et fit alliance avec lui (Gén. 17,  5-6). De sa femme Sarah qui était stérile, Dieu lui promit un fils, qu'il appela ISAAC.

Isaac eut comme Fils JACOB et de ce dernier sont issues les 12 fils de Jacob devenu Israël parce qu'il avait lutté avec le Seigneur. Déplacés en Égypte pour retrouver Joseph devenu grand administrateur des ressources alimentaires du pays, ces fils, de famille en famille formeront les 12 tribus d'Israël que les égyptiens, bien des années plus tard, transformeront en esclaves. Intelligents et travailleurs, ils furent à l'origine des plus grandes œuvres architecturales de ce pays et furent les inventeurs des pyramides que tout le monde admire aujourd'hui en Égypte. La grandeur de ce peuple s'est manifestée dans son humiliation la plus totale.

Et Dieu envoya Moïse pour libérer de l'esclavage ce peuple de l'alliance. Ils errèrent 40 ans dans le désert, nourris par Dieu (La manne et les cailles qui tombaient du Ciel), désaltérés par Dieu (L'eau du rocher) jusqu'à la terre promise que Moïse ne foulera pas. Pour faire respecter son alliance Dieu envoya plusieurs prophètes lorsque le peuple eut supplié Dieu de leur donner un roi. Et depuis lors la royauté s'est installée en Israël, le fils de Dieu est descendant de David roi d'Israël de la tribu de Juda.

Alors pourquoi Dieu a-t-il cheminé ainsi avec l'homme, en l'éprouvant dans sa nature, en le sauvant des grandes servitudes, en le nourrissant de sa nourriture céleste, en le désaltérant ? Tout simplement parce qu'ayant créé, l'homme à son image et à sa ressemblance, il fallait qu'il prît notre nature humaine pour achever la création de l'homme qu'il avait commencée depuis Adam. Et l'achèvement de cette œuvre de créature totale et parfaite à l'image de Dieu a été incarné par la personne de Jésus Christ, le Sauveur, qui, à n'en pas douter, se présente être pour l'homme, le CHEMIN, la VÉRITÉ et la VIE. Avec Lui TOUT EST ACCOMPLI et nous sommes sauvés. Avec Jésus-Christ, Satan a perdu les repères par lesquels ils nous agressaient pour nous perdre.

Voici pour vous, qui en doutez encore, les principales prophéties relatives à la venue du Messie, le Christ, l'Oint, le fils de Dieu, Celui par qui Dieu a achevé ce qu'il avait commencé depuis Adam :

1. Jacob mourant, dit à son fils Juda en le bénissant : Tes frères te loueront et se prosterneront devant toi, ta main sera sur la tête de tes ennemis : Le sceptre ne sortira pas de Juda, ni le prince de sa postérité jusqu'à ce que vienne celui qui sera l'attente des nations (Gén. 49, 10).

2. Lorsque David songeait à bâtir un temple, le Seigneur lui dit : Je mettrai sur ton trône un fils qui naîtra de toi ; j'établirai son trône pour l'éternité ; je serai son père et il sera mon fils   (2 Samuel, 7. 13-14).

3. Daniel prédit la venue du Messie : Depuis l'ordre qui sera donné pour rebâtir Jérusalem, jusqu'à la venue du Christ, chef du peuple, il s'écoulera 70 semaines d'années (490 ans).

4. Aggée prédit que le Messie honorerait de sa présence le temple reconstruit après la captivité. Encore un peu de temps, et j'ébranlerai le ciel et la terre, et le Désiré de toutes les nations viendra ... La gloire de cette dernière maison sera plus grande que celle de la première ...., et c'est dans ce lieu que je donnerai la paix.

5. Michée prédit la naissance du Messie à Bethléem : Et toi, Bethléem d'Ephrata, tu es très petite entre les villes de Juda ; mais c'est de toi que sortira celui qui doit être le Dominateur d'Israël.

6. Isaïe prédit la miraculeuse virginité de la mère du Messie : Voilà qu'une Vierge concevra et enfantera un fils, qui sera appelé EMMANUEL. (Qui veut dire DIEU AVEC NOUS)

7. David prédit l'adoration des mages : Des rois de l'Arabie et de Saba lui apporteront des présents.

8. Osée prédit le retour d’Égypte : J'ai rappelé mon Fils de l’Égypte. (Après la fuite en Égypte pour fuir le roi Érode).

9. Jérémie prédit le massacre des Innocents : On a entendu de grands cris dans Rama, parce que Rachel pleure la perte de ses enfants. (Le massacre de saints Innocents)

10. Malachie prédit la mission de saint Jean-Baptiste : Je vais vous envoyer mon ange qui préparera ma voie devant ma face, et aussitôt viendra dans son temple le Dominateur que vous cherchez.

11. Isaïe prédit les miracles de Jésus : En ce temps là, les aveugles verront, les sourds entendront, les boiteux marcheront droit, et la langue des muets sera déliée.

12. Zacharie prédit son entrée triomphante à Jérusalem : Réjouis-toi, fille de Sion, car voici ton roi qui vient à toi, monté sur une ânesse et sur le poulain de l'ânesse.

13. David prédit la trahison de Judas : Celui qui m'était si uni, en qui j'avais tant de confiance, et qui mangeait de mon pain, a fait éclater contre moi sa trahison.

14. Zacharie dit quelle somme d'argent sera donnée au traître : Ils pèseront ma récompense trente pièces d'argent.

15. David prédit la passion du Sauveur : Ils m'ont donné pour nourriture du fiel, et dans ma soif ils m'ont abreuvé de vinaigre. Tous ceux qui m'ont vu se sont moqués de moi ..., ils ont secoué la tête en disant : Il a espéré au Seigneur, que le Seigneur le délivre et qu'il le sauve, s'il est vrai qu'il l'aime. Ils ont jeté les yeux sur moi qu'ils avaient couvert de plaies. Ils ont percé mes mains et mes pieds ... Ils ont partagé mes vêtements, et jeté ma robe au sort.

16. Isaïe prédit aussi la passion du Sauveur : Il nous a paru un objet de mépris, un homme de douleur. Nous l'avons considéré comme un lépreux, comme un homme frappé de Dieu : il a été blessé à cause de nos iniquités, et nous avons été guéris par ses meurtrissures .... Dieu l'a chargé lui seul de l'iniquité de tous.

17. Amos prédit les ténèbres qui arrivèrent à la mort du Sauveur : Le soleil se cachera en plein midi, et le Seigneur couvrira la terre de ténèbres.

18. Osée prédit la résurrection : Le troisième jour il ressuscitera, et nous vivrons en sa présence. O mort, je serai ta mort. Isaïe ajoute : Son sépulcre sera glorieux.

19. David prédit l'Ascension : Elevez-vous, portes éternelles, et le Roi de gloire entrera. Dieu est monté au milieu des acclamations de joie.

Le langage des prophètes n'a jamais varié. Ils ont annoncé à un peuple parfois incrédule les mystères de salut de Dieu, pour la victoire finale contre Satan. Et voici qu'aujourd'hui encore, les hommes demeurent incroyants malgré plus de 6000 ans de compagnonnage de Dieu avec l'homme. De quoi Dieu est-il coupable si de tout temps l'homme choisit dans sa liberté, le mal et sa cohorte de malfaisance. Le MAL EST UN CHOIX DE L'HOMME ET NON UNE ADMINISTRATION DE DIEU. (Voir article du 15 décembre 2016).

Tous les prophètes sont comme les gérants de l'Alliance de Dieu avec son peuple. Tout prophète qui agit hors de cette alliance est un faux prophète. Et tous les prophètes étaient d'origine juive, hébraïque. Et on n'est pas prophète par décision humaine, ni par soi-même. Si Dieu s'est fait l'un de nous, c'est que la période prophétique est révolue car nul ne peut être plus royaliste que le roi, qui par sa venue sur terre a tout accompli.

CROYEZ AU FILS DE DIEU ET VOUS SEREZ SAUVES.

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7 juillet 2016 4 07 /07 /juillet /2016 11:01
Voici pour vous, le visage d'une grande SAINTE pas très connue en Afrique
Ste Kyriaquie de Nicomedie, vierge et martyre (287-303)

Sous le règne de Dioclétien, à Tropea, en Calabre (I), un couple de pieux chrétiens aisés, Doroteo et Eusebia, qui étaient restés sans enfants, supplièrent Dieu de leur accorder une progéniture, en lui promettant de la Lui consacrer. Leur prière fut exaucée, et il leur naquit une fille, un dimanche de l’année 287, c'est pourquoi ils la nommèrent Kyriaquie (signifie « dimanche » en grec. On pourrait donc traduire son nom par celui de « Dominique ». L'ayant baptisée, ils l'élevèrent en l'instruisant et la corrigeant selon le Seigneur (cf. Éphés. 6:4), et fidèles à leur promesse, ils préservèrent sa virginité afin de la consacrer au service du Seigneur.

Un jour, un riche païen, qui séjournait dans la ville, ayant entendu vanter la beauté et la qualité des mœurs de la jeune vierge, décida de la marier à son fils. Mais quand on vint lui en faire la proposition, Kyriaquie déclara qu'elle était épouse du Christ, et qu'elle désirait mourir dans la virginité. Furieux, le prince alla les dénoncer, elle et ses parents, à l'empereur Dioclétien comme rebelles à son autorité. Le souverain les convoqua, et leur demanda pourquoi ils rejetaient les dieux de l'Empire. Dorothée répondit avec courage qu'il avait appris de ses parents à n'adorer qu'un seul Dieu, le Créateur du ciel et de la terre, qui s'est incarne pour notre Salut. Il fut soumis à la flagellation. Mais comme, sous les coups, il continuait à se moquer des idoles, l'empereur, voyant qu'il n'en tirerait rien de plus, l'envoya, avec Eusébie, auprès de Justus, gouverneur de Mélitène, en Petite Arménie. Celui-ci les soumit à la torture et leur procura la couronne du Martyre, en leur faisant trancher la tête.

Quant à Kyriaquie, Dioclétien l'envoya à son gendre, le césar Maximien, qui résidait à Nicomédie. Ayant admiré son éclatante beauté, Maximien la fit comparaître et lui promit qu'elle épouserait un des parents de l'empereur si elle acceptait d'honorer les dieux. Mais la frêle jeune fille se montra inflexible et lui déclara que rien ne pourrait la séparer de l'amour du Christ. Le tyran la fit alors étendre à terre entre quatre piquets et ordonna de la fustiger à coups de nerfs de bœuf, jusqu'à ce que mort s'en suive. Les soldats épuisés changèrent à trois reprises, mais Kyriaquie restait insensible aux coups et n'en était que plus rayonnante de grâce. Maximien, croyant que, par pitié pour la jeune vierge, ses hommes n'usaient pas de toute leur force retourna sa colère contre eux. La Sainte l'interpella alors: « Ne t'égares pas, Maximien. Jamais tu ne pourras me vaincre, car Dieu me porte secours ». Craignant d'être de nouveau tourné en ridicule, l'empereur la fit transférer auprès d'Hilarion (ou Hilaire), gouverneur de Bithynie, homme réputé pour sa cruauté envers les Chrétiens.

Après avoir pris connaissance de la lettre de Maximien, qui accompagnait la captive, Hilarion menaça Kyriaquie de tortures inouïes. Elle lui répondit qu'il serait plus aisé d'amollir le fer, plutôt que de la soumettre; et quand on lui passa des torches enflammées sur le corps, après l'avoir suspendue par les cheveux, elle resta impassible, comme si elle était déjà revêtue de l'incorruptibilité promise aux élus. La nuit suivante, elle reçut dans sa prison la visite du Christ qui la guérit et lui promit de la délivrer de toutes épreuves par Sa grâce. Au matin, le tyran s'étonna de la voir indemne, mais attribuant ce miracle aux dieux, il la fit conduire au temple des idoles. En entrant dans le temple Kyriaquie se mit à genoux et adressa une prière au Christ. Aussitôt l'édifice s'ébranla et les idoles tombèrent à terre, et se brisèrent en mille morceaux qu'un vent violent dispersa, mettant en fuite les païens présents. Seul Hilaire continuait de proférer des blasphèmes, quand un éclair fendit le ciel et brûla le visage du gouverneur qui, tombant de son siège, expira. Il fut remplacé par un autre magistrat, Apollonios, qui, ayant été mis au courant des événements qui agitaient la province, fit comparaître la Sainte et la condamna à être brûlée vive. Après avoir allumé une grande fournaise, les soldats y jetèrent Kyriaquie. Elle demeura plusieurs heures en prière, les mains tendues vers le ciel, sans que les flammes puissent lui causer la moindre brûlure. Et, alors qu'on était en été et que le ciel était dégagé, un nuage noir apparut et une averse vint éteindre le feu. Apollonios ordonna ensuite de lâcher contre elle deux lions; mais, dès qu'ils l'approchèrent, les fauves devinrent doux comme des agneaux et se couchèrent aux pieds de la Sainte. De nombreux païens, qui avaient été témoins de ces prodiges, confessèrent alors le Christ, et ils furent aussitôt exécutés.

Le jour suivant, un nouvel interrogatoire devant le gouverneur s'avéra tout aussi vain. Constatant donc qu'il ne pourrait vaincre la valeureuse athlète du Christ, ni par les flatteries ni par les tortures, Apollonios la condamna à mourir par le glaive. Emmenée en dehors de la ville, Kyriaquie demanda à ses bourreaux de lui accorder un instant pour prier. Tombant à genoux, elle adressa une longue prière au Christ, qui lui avait donné la force de témoigner de son Nom devant les rois et les princes, et qui avait préservé sa virginité jusqu'à ce jour de ses noces mystiques. Des Anges lumineux vinrent prendre son âme, pour la présenter à son Époux, et elle s'affaissa doucement à terre : c’était le 06 juillet 303. Les soldats, qui s'apprêtaient à lui trancher la tête, furent stupéfaits de la trouver déjà morte. Ils entendirent alors une voix céleste, qui leur disait: « Frères, allez raconter à tous les merveilles de Dieu ». Pendant qu'ils allaient rendre compte au gouverneur de ce qu'ils avaient vu, des Chrétiens, qui se tenaient cachés par crainte des païens, vinrent prendre le corps de la Sainte et l'ensevelirent dans un lieu convenable en rendant grâces à Dieu. Les dépouilles mortelles sont conservées dans la Cathédrale de Tropea, en Calabre.

Sainte Kyriaquie, localement appelée Santa Domenica, est la Patronne de Tropea où elle est l’objet d’une grande vénération et où, tous les ans, il y a une grande fête en son honneur dans toute la province.

Source : Evangile au Quotidien du 7 juillet 2016

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28 juin 2016 2 28 /06 /juin /2016 10:10
Lu pour vous : IL N'Y A PAS DE VIOLENCE EN DIEU car en LUI se trouvent tous les pouvoirs.

La Lettre à Diognète (v. 200)

La tradition des chrétiens n'a pas une origine terrestre ; ce qu'ils conservent avec tant de soin n'est pas l'invention d'un mortel... En vérité le Tout-Puissant lui-même, le Créateur de toutes choses, l'Invisible, Dieu lui-même a établi chez les hommes la vérité en envoyant du haut des cieux sa Parole, le Verbe saint et insondable, et l'a affermi dans leurs cœurs.

Il n'a pas envoyé aux hommes, comme certains pourraient l'imaginer, quelque subordonné, ange ou un des esprits chargés des affaires terrestres ou à qui est confié le gouvernement du ciel (cf Ep 1,21), mais bien « le bâtisseur et l'architecte » de l'univers (He 11,10). C'est par lui que Dieu a créé les cieux, par lui qu'il a enfermé la mer dans ses limites ; c'est lui dont tous les éléments cosmiques observent fidèlement les lois mystérieuses ; lui de qui le soleil a reçu la règle qu'il doit observer dans sa course journalière ; lui à qui obéit la lune, brillant pendant la nuit ; lui à qui obéissent les astres qui accompagnent la lune dans son cours. C'est de lui que toutes choses ont reçu disposition, limites et hiérarchies : les cieux et tout ce qui est dans les cieux ; la terre et tout ce qui est sur la terre ; la mer et tout ce qui est dans la mer, le feu, l'air, l'abîme, le monde d'en haut, celui d'en bas, les régions intermédiaires : c'est lui que Dieu a envoyé aux hommes.

Et non pas, comme une intelligence humaine pourrait le penser, pour la tyrannie, la terreur et l'épouvante –- pas du tout ! Mais en toute bonté et douceur, il l'a envoyé comme un roi envoie son fils (cf Mt 21,37), comme le dieu qu'il était. Il l'a envoyé comme il convenait pour les hommes : pour les sauver par la persuasion, non par la violence. Il n'y a pas de violence en Dieu.

Source : Evangile au Quotidien du 28 juin 2016

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